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La bonne chair masculine…

La bonne chair masculine…

La brise caressait mes mamelons gonflés me donnant des frissons agréables. Les deux verres de Riesling avaient également contribué à mon excitation. Mon entre-jambe brûlait comme si le soleil qui disparaissait avait soufflé toute son énergie thermique dans mon intérieur. Sous ma fine culotte en dentelle, pourpre bien sûr, mon anneau titillait avec grande gourmandise; la longue séance matinale d’auto-sodomisation ne lui avait pas suffi. Je me levai et décidai de sortir pour me rafraîchir les idées mais aussi mon intérieur. Quelques bières en bord de mer feraient l’affaire…
Les rues de ma petite ville étaient quasiment vides; vacances de printemps et Fêtes religieuses sur fond de rassemblements familiaux à la campagne (countryside). Idem pour la buvette; quelques solitaires autour du comptoir et deux tables occupées dont une par un inconnu basané avec des traits rigides. Etrange! pensais-je, pourquoi n’est-il pas au bar…
La bière était servie avant même que mes grosses fesses se posent sur le haut tabouret. En essayant de m’y installer j’ai dû remuer mon cul par inadvertance. Oh putain! juste dans la perspective de l’inconnu… J’étais venu ici pour calmer mon excitation mais me voilà entrain de, même par mégarde, de créer une exaltation sensuelle.
Quelques minutes plus tard le gus se pointait au comptoir. “C’est où l’espace fumeur” lança-t-il avec un accent ‘pas d’ici’… “Tu peux fumer ici, nous sommes entre nous” répliqua le barman mettant un cendrier sur le banquet à ma gauche. “Ça dérange” demanda-t-il son regard noir charbon sur moi. Je me suis contenté de hocher la tête en guise de ‘non’. Il s’installa laissant un siège entre nous. Dans sa conversation avec le gérant je notais que cet ouvrier agricole était de passage dans notre bled. La troisième bière m’avait donné plus d’audace pour scanner ce gars trapu mal rasé, basané et avec de grosses mains rugueuses. Son Jean serré ne pouvait pas dissimuler le renflement entre ses jambes… Putain et putain! encore une fois mon sang bouillait, mon anneau titillait et je voulais me lécher les lèvres… Voici presqu’un an que j’avais perdu ma virginité mais jamais je n’avais été attiré par un poilu à apparence mec. Malgré, ma clit et ma chatte, ces chères sœurs jumelles de mon entre-jambe, enflaient de plus en plus dans mon pantalon de survet.

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